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L'habitat bio climatique passif/actif adaptè aux besoin de la population.

 

C'est une approche conceptielle qui permet de recycler l'énergie théoriquement perdue dans la production d'électricité loin de la demande ou aussi dans vos logements pour obtimiser vos économies d'énergies. En effet, lorque que l'on produit de l'énergie primaire qui tranformée en électricité des pertes sont important à la production, au transport, transformation...

      Dans votre logements il est possible de remplacer le systèmes de production de confort, il est donc important        de bien étudier les différentes solutions qui s'offre à vous.

En transforment l'énergie au plus près de la demande toute la partie thermique peut être recyclé dans l'habitat ou l'industrie, se qui va vous apporter des gains de productivités:

1- Dans l'habitat en zone tropical le solaire thermodynamique de moyenne température permet de ptoduire 4 fois d'énergie renouvelable pour la même puissance, avec un investissement inférieur.

2-Dans l'habitat en climat tempéré les pompes à chaleur peuvent installées intelligement réduire vos consommations d'énergie fortement.

3- Pour l'industrie cela permet d'obtenir une chaleur renouvelable entre 80 et 200 degrés, avec ou pas une production électrique complémentaire pour valoriser les matières premières.

L'objectif est aussi de mettre en place la possibilité de stocker, tranferer, échanger et restituer une énergie primaire valorisé par la géo et free cooling. 

 

Alors que les prix de l'électricité, gaz augmentent, l’habitat des classes populaires demeure un problème récurrent en France et dans les villes, campagnes d’Afrique subsaharienne, le géo et free cooling peut mettre beaucoup d'énergie gratuirement qui est payé et perdue à disposition des plus défavorisés. En AFRIQUE les politiques de « logement social » conduites par les États après la période des Indépendances, puis sous l’influence des bailleurs de fonds, ont presque toujours bénéficié aux catégories les plus aisées (car ceci arrivent plus ou moins à financer l'investissement et l’énergie de confort thermique). Les alternatives « participatives » aujourd’hui promues par certaines ONG n’arriveront pas non plus à inventer un nouveau modèle pour le logement social en Afrique ? En FRANCE le paramétrage du nouveau DPE va faire émerger 7 à 8 millions de passoirs thermiques.

La forte croissance démographique et l’étalement urbain en Afrique, les « ratés » de la planification, les occupations illégales et l’habitat informel ou encore les réformes touchant à la « bonne gouvernance » sont des thématiques récurrentes des rapports institutionnels comme des analyses scientifiques sur les villes africaines. Après les espoirs des Indépendances, la crise des années 1980 et la succession de plans d’ajustement structurel dans la décennie 1990 avaient abouti à une mise en retrait de l’État puis à des injonctions aux partenariats publics–privés. Les interventions en milieu urbain s’étaient alors raréfiées, puis patraque le COVID- 19, ce qui va encore repousser le logement social à un futur lointain.

Sur notre planète, le logement doit incarner l’accession à une certaine « modernité » et faire apparaitre la maturité des ETATS à donner un hébergement décent à leur population. Mais en fait les Etats ont abandonné les plus démunis de leur pays et renoncé à l’objectif d’ériger des capitales, ou campagne en « lieux modernes » sains, condortables, économes et durables.

La prècarité énergétiques doit être combattu non pas avec des réglementation thermiques qui sont axés sur des obligations de moyens non respectés, mais avec une oblifation de résultat.

Epargne, Foncière, Capital, Management invente une alternative énergétique avec la géo énergie thermodynamique solaire. L'objectif: être crédible vis à vis des investisseurs (proposer des placements rémunérateurs) pour réussir la transition énergétique en valorisant les pertes thermiques par le recyclage.

Le procédé ne coûte pas plus chére en investissement, bien au contraire, il permet aussi de produire un combustible renouvelable (l'ammoniac) idéal pour lutter contre l'intermittence des renouvelables et pour avoir une énergie de transport.