Qui sommes nous?
Pour atteindre les Objectifs de Développement Durable et ceux de l’Accord de Paris pour le climat et apporter des réponses à la hauteur des enjeux, nos modes de pensée et d’action E.C.F.M- Invest sont contruit différement.
La reconstruction écologique,énergétique de façon solidaire et responsable à pour objectif de détourner les investisseurs de la finance classique vers la finance durable à impact. La finance à impact connait dans ce contexte un développement important car elle permet dans le segment de l'énergie à court therme de générer du cash. La plus part des Etats doivent investir dans les EnR et non pas le financement et l’enjeu est de trouver les leviers qui permettront de développer la finance à impact pour répondre à cet objectif sans bloquer les Etats dans des tarifs énergétique qui se révelerons important au fil du temps. Sans brader les bijoux de famille qui générent les revenus actuelles des énergéticiens qui ont été financé par l'impôt, doivent apporter pour ce désendéter plus de gains de productivités dans leur modéle économique pour cas travers la classe d’actif de la finance à IMPACT il existe une rentablilité globale. Pour faire face efficacement à l’urgence de la crise écologique et sociétale, en évitent de laisser les dettes à la collectivité dans les secteurs moins rentables, il faut donc faire évoluer la technologie et les gains de productivités.
Chaque Etat ayant une mission de service public pour la production d'énergie qui devrait permettre de produire de façon égalitaire l'énergie sur tout le territoire avec des conditions notamment de qualité, d'indépendance, et de tarif abordable. Si certains pays ont réussits, ce qui est loin d'être le cas pour tous, la vigilence reste de rigueur dans l'ouverture des marchés de l'énergie pour ceux qui ont réussit.
E.F.C.M- Invest à mis en place une finance à impact qui permet de gagner en efficacité pour les usagers et la comunauté grace à la technologie qui est l'ADN dans nos stratégies d’investissements pour vempiriser les bons actifs. Pour cela, nous avons repensé le modéle et pas juste restructuré les actifs pour générer du cash. Nous nous s’appuyons donc sur ce pilier qui est la technologie de rupture et l'économie de la nouvelle connaissance accompagnés d'actions connexes d’intentionnalité, de l’additionnalité et de la mesure de l’impact, pour démontrer:
1. La recherche conjointe, dans la durée, d’une performance écologique et sociale et d’une rentabilité financière, tout en maîtrisant l’occurrence d’externalités négatives ;
2. L’adoption d’une méthodologie claire et transparente décrivant les mécanismes de causalité via lesquels la stratégie contribue à des objectifs environnementaux et sociaux définis en amont, la période pertinente d’investissement ou de financement, ainsi que les méthodes de mesure, selon le cadre dit de la théorie du changement;
3. L’atteinte de ces objectifs environnementaux et sociaux s’inscrivant dans des cadres de référence, notamment les Objectifs de Développement Durable, déclinés aux niveaux international, national et local.
Notre objectif de Finance for Tomorrow est d’encourager le développement de la finance à impact au sein des investisseurs en proposant plus de gains qu'avec la finance polluante (classique) et surtout la possibilité de démontrer l'obligation de résultat. En effet, nous sommes dans un monde de rentabilité, pour accélérer la transformation de façon plus juste et durable de l’économie de la nouvelle connaisance, il faut permettre de produire la technologie adaptée, et notre défi consiste à faire passer à l’échelle le secteur de l’impact du fait des gains de productivité obtenus par la technlogie de rupture qui produit les gains de productivités à répartir entre les investisseurs et l'economie.
Pour qu'une cohérence des pratiques de la finance et notamment celle durable soit institutionalisé; il est nécessaire de soutenir une démarche d’impact par la technologie de rupture. Le passage de la finance classique, finance responsable à la finance à impact réside uniquement dans sa capacité à générer des gains de productivités pour mieux rémunérer les investisseurs et les employés des entreprises. Malheureusement, tous les acteurs financiers non pas cette vision de création de richesse à partager. N'ont pas cette vision de développer la finance à impact rentable, car ils n'ont pas la vision pour dégager les gains de productivités nécessaire pour rémunérer cette chaine de valeur cité plus haut.
Du fait de la crise de l'offre et la demande, notre approche apporte une méthode triple:
1- Augmenter l’impact: réduire le «coût par impact» pour une meilleure résilience des projets, notamment et obtenant des crédits carbone.
2- Faciliter le crédit: réduire le risque des opérations du fait du gain carbone, proposer des outils de partages de risques publics-privés ou encore à structurer des véhicules avec la taille critique pour les marchés financiers de dette et de capitaux.
3- Utiliser le levier de la digitalisation: nouveaux services sources de création de valeur, notamment en collectant des données permettant de démontrer le bilan des projets, dont le succès soutient le développement.
Pour permettre à nos investisseurs de bénéficier de bon placements qui fonds en plus du bien à la planéte, il est important de nous conformer à une gestion de bon pére de famille, afin d'éviter la déflation, car nous n'avons plus de croissance, plus d'inflation raisonnable (plus redistribution), nous avons des dettes privés importantes, l'effondrement de circulation de vitesse de la monnaie, tout cela sont les symptomes de la déflation dont le Japon n'arrive pas à ce débarrasser et dont le reste du monde commence à entrée dans cette spirale. Il est donc nécessaire de ne pas prendre un réméde qui va aggraver la situation et la finance à impact permet de continuer à investir, pas uniquement pour ce désendéter masivement. La condition à la relance est d'avoir un plan stratégique notamment écologique qui n' augmentera pas la dette réel et généra les gains pour la collectivité, ce que propose le plan E.F.C.M- Invest est donc l'antidote à la déflation.
En conclusion:
Pour sortir de la doxa imposée par des experts qui ont des jugements qui n'ont rien à voir avec le monde réel, nous proposons la finance alternative qui permettra de reconstruire écologiquement la panéte, en créant un lien entre l'endroit ou il existe beaucoup d'énergie cynétique (rentabilité) et l'endroit ou les entreprises ont besoins de réduire leur impact carbone (qui nuissent au climat).