Le Mot du Président
- Vous êtes ici :
- Accueil
- Le Mot du Président
Notre objectif est de permettre à la finance durable de prendre de l'importance sur la finance classique pour attirer les capitaux vers elle.
L'europe est confronté à la réduction de ses G.E.S et l'Afrique avec sa démographie à son développement éconimique.
Dans l'objectif d'une maitrise mondiale de l'augmentation de la température, fait qu' E.C.F.M- Invest propose une synergie entre les deux continents à l'aide de la rupture technologique et financiére, afin de maitriser les effets sur le changement climatique.
En Europe l'énergie synétique est moins prèsente que sur le continent africain, il est donc probable que les entreprise ne puissent pas entièrement annuler leur impact carbone en totalité.
En Afrique les entreprises ont besoins de décarboner leur production énergétique, c'est donc tout naturellement qu'une synergie doit s'imposer entre les deux continent.
Cette synergie qui se matérialise par l'invention technologique de rupture(la géo-énergie thermodynamique), qui permet des gains de productivités très importantes pour permettre aux investisseurs de transferer leur épargne sur nos supports de financements durable, nous à amener à réfléchir global et agir local.
Comment ça marche la géo-énergie thermodynamique solaire au plus près de la demande.
Schéma d'auto production d'énergie renouvelable, permettant de faire face à l'intermittence des renouvelables de façon économique et écologique.
Dans le système actuel énergétique électrique centralisé une grande partie de l'énergie thermique est perdue et payé (inclu dans le prix de vente du KWH). Pour permettre d'utiliser cette énergie perdue et d'être valorisé dans l'économie, il est judicieux de la produire au plus près de la demande avec des équipements renouvelables.
Le schéma ci-dessus permet donc de générer de gros gains de productivités et de réconcilier les investisseurs avec les renouvelables.
La synergie:
Aucun continent n'a été confronté à autant de défis à relevées en même temps, que le continent africain. Pour anticiper les conséquences de la démographie, seul les connaissances nouvelles, et la finance durable permettront d'y arriver.
Accompagner les Etats à trouver un nouveau modèle énergétique, économique et environnemental pour améliorer leur gain de productivité, avec comme ambission de trasférer les fonds de la finance classique vers la finance durable, est notre ADN.
E.C.F.M- Invest propose une stratégie économique, écologique, énergétique, claire pour que l'Afrique, trouve son développement et puisse mettre un terme à l'extrême pauvreté!
Cela ne passe pas la NOEBA (Nouvelle Economie Bleue Africaine), inventé à location.
Malheureusement en Afrique comme partout, la politique serre à arbitrer des pressions, et moins à penser à de vraies stratégies de développement pour anticiper les problèmes.
Les gouvernements ne comprennent pas toujours la porter des initiatives engagés, car il n’y à pas d’évaluation, de remises en cause, afin d’engager le débat du changement.
La création de richesse et de développement humain sont deux sphères interactives dont l’une ne peut être réalisée sans l’autre, elle devrait donc être un effet de levier.
L’objectif est de combiner les deux sphères avec l'énergie qui à ce jour permet la transformation des matières premières grâce à des flux énergétiques, ce qui à créer la richesse des pays industrialisés et laisse l'Afrique dans de grandes difficultés financières, sociales...L’autre sphère serait de prendre en compte l’ensemble du niveau de vie de la population pour répondre aux enjeux majeurs, alors que les instances internationales utilisent que des notions comptable pour résoudre les difficultés.
Nous pouvons prendre l’exemple du changement climatique et de « l’électrification rurale » ou les politiques recherchent plutôt à trouver des solutions pour calmer la population avec de l’électricité pour regarder la télé, rechaper le portable… au lieu de rechercher à faire fonctionner des machines, on cherche à occuper les gens.
En matière énergétique seule la solution du tout électrique est envisagè car l’arbitrage de l’électricité ne sert qu’une certaine castre, que l’usage énergétique n’est pas regardé afin d’optimiser le rendement pour pouvoir répartir les gains pour mettre un terme à l’extrême pauvreté.
L’amélioration des pertes de production énergétique (électrique) pourrait être le premier levier de développement économique et il est possible avec la cogénération solaire d'envisager le renouveau économique de l'Afrique, afin de recycler au plus près de la demande la partie thermique en refroidissement domestique ou industriel.
Comme l'électricité n'est pas une énergie naturelle elle occasionne beaucoup de perte et son rendement n'est pas élevé pour notamment produire du froid. Pour ce faire, l'électricité doit être produite au plus près de la demande et ces pertes de chaleur de turbines optimisées pour l'industrie ou le confort de la population.
Le second levier à actionner par les organisations pour réaliser leur transition énergétique, OPTIM-ENERGIE propose des solutions de bon sens, que l'on retrouve dans le programme NOEBA applicable à toute l'Afrique, l'énergie solaire autre qu’électrique au plus près de la demande.
L'Afrique a malheureusement hérité de la pire chaîne énergétique (électrique) pour répondre à la demande énergétique de sa population qui est majoritairement du froid, en utilisant la production d'électricité centralisée avec les fossiles et la compression électrique pour produire du froid à contre cycle du besoin, il n'y a pas suffisamment d'électricité pour tout le monde.
Les besoins en climat tropical est différent du climat tempéré pour réaliser des investissements à impact responsable, il faut repenser, les aides aux développements ; et former les fonctionnaires chargé, de la mise en œuvre de la politique décidée.
Pourquoi la NOEBA
D’ici 2050, la population africaine devrait atteindre 2,4 milliards de personnes dont plus d’un milliard de citadins. La Villes durables, la ruralité qui alimente les villes est au cœur des enjeux. L’innovation en Afrique doit déboucher à la maitrise des enjeux sociétaux, environnementaux et territoriaux posés par cette démographie rapide. Les innovations qui peuvent- contribuer à l’émergence d’un développement territorial en Afrique, est la chaleur et l’ammoniac renouvelable qui peuvent devenir dans la prochaine décennie la première économie du continent.
Il vaut mieux une technologie simple à soi,qu’une science compliquée,achetée à d’autres, polluante et pas adaptée aux objectifs
La NOEBA permet de mettre en place une véritable stratégie environnementale, afin de :
limiter l’intermittence des renouvelables en utilisant l’énergie perdue pendant le cycle de production de l’électricité,
limiter les émissions de gaz à effet de serre pour développer les territoires et créer les outils de la transition énergétique adaptés à la renaissance économique, est un autre objectif majeur.
Produire un combustible renouvelable avec l’ammoniac
Construire, sain, confortable, économique, et durable.
Il n’y a plus de temps à perdre pour préparer les défis majeurs qui attendent l’Afrique du à la démographie, OPTIM-ENERGIE a préparé un plan, des équipements de ruptures et une ingénierie spécifique au climat afin de réduire l’extrême pauvreté, améliorer l’emploi…
En conclusion : Notre stratégie colle avec la nouvelle loi dite « nouveau code de l’électricité » car nous pouvons proposer des équipements qui produisent électricité, chaleur et force motrice au plus près de la demande.
Nous offrons à nos clients un avantage concurrentiel en revendant l’électricité pour amortir l’investissement et recycler la chaleur perdue par la turbine quand elle produit l’électricité pour rafraichir son logement ou bureau pour les entreprises.
Investir dans l’innovation, qui comprend la Recherche et le Développement (R&D), amène des bénéfices commerciaux à long terme – efficacité, productivité, compétitivité et, finalement, augmentation des ventes, seulement se n’est pas le rôle de l’état de se mêler de l’innovation, ni de légiférer avant même qu’il ait compris les possibilités de développement. Encore une fois l’état arbitre avec la pression des lobbys en place, ce qui ne sert qu’une certaine castre et freine le développement économique d’une majeure partie de la population.
Conclusion :
Le personnel de la fonction publique passe plus de 95% de leur temps à régler des problèmes créé par un manque de réflexion à la base.
Construire au lieu de déconstruire, ou d’arbitrer sans l’aide d’études exhaustives qui permettrait des innovations plus adaptées avec la nouvelle connaissance semble plus opportun.
Notre objectif,n'a pas un but de décroissance mais de répondre aux enjeux de la démographie, et de s’atteler aux problèmes qui surviennent dans le quotidien (la pratique), avec des réponses plus appropriées et pertinente que le tout électrique qui freine l'activité ou la consommation d'énergie est un facteur déterminant.
Thierry LECUYER
