L'économie bleue, l'économie du recyclage pour changer le système pour le climat et l'économie.
EFCM- Invest est une Fin Tech qui propose des services fianciers nouveaux : C'est-à-dire, une startup qui à besoin de réinventer la finance du fait du couplage de la technologie de rupture nécessaire au quotidien de la population pour faciliter leur vie, et les gains de productivités qui va attirer les investisseurs vers cette finance durable à IMPACT, notamment en bousculant les acteurs établis du secteur Bancaire, immobilier, de l’énergie et des déchets, vers des levées de fonds pour la Reconstruction économique et climatique.
En effet, que serait le fait de proposer la réduction que de services bancaire à l’aide de la technologie quand l’électricité fossile est gaspillée en pertes thermiques importantes, que la plus grande partie de la population n’a pas d’emplois déclarés, n’a ni électricité à son domicile, sutout pas d'électricité pour générer des activités génératrices de revenus … EFCM- Invest a donc choisi de mettre la finance et la technologie au service de la création de richesse à partager par tous, afin de participer aux nombreux défis qu"attend l'Afrique.
EFCM- Invest a choisi de créer une Fin Tech Sd to B (Solution durable-to-business) qui propose des services technologiques de ruptures adosé à des actifs financiers pour répondre aux contraintes environnementales du quotidien (transformer du secteur financier pour le financement de l’énergie, de l’immobilier, des déchets, du secteur minier...) pour créer de la forte valeur ajoutée et non pas des inégalités entre territoire qui n’ont ni énergie, ni très haut débit internet..
EFCM- Invest avec une très forte valeur ajoutée auprès des Etats, entreprises, PME ou grands comptes, par exemple en produisant une énergie très bon marché sur de très longues périodes (liée a leurs procédés industriels) avec une approche stratégique globale environnementale, va proposer des gains de productivité supérieure au Fin Tech qui ne proposent que des services bancaires pour les plus favorisés.
.EFCM- Invest permet ainsi d’avoir une vision claire et globale à donner aux décideurs afin d’aborder concrètement les défis de la démographie et des innovations de ruptures prêtes à perturber l’avenir des affaires et de la finance. L’objectif EFCM- Invest est de fournir des services financiers de façon plus efficace (rendement du placement) à nos investisseurs et moins chère (pour le bénéficière du projet) et aussi transférer les nouvelles connaissances dans l’exercice de leurs propres rôles et commencer à préparer la perturbation de la Fin Tech au sein de leur propre organisation. .
Fin Tech spécialisé dans le financement technologique, la planification de la retraite à l’aide de levier qui respecte les ODD, le financement immobilier qui va être révolutionné grâce à la chaleur renouvelable et l’ammoniac vert car adaptées aux usages énergétique, à l’aide d’innovations complexes et des services financiers adaptés aux nouveaux enjeux créatifs et productifs de richesses à partager, pour répondre aux nouveaux défis de l’Afrique.
Les Fin-Techs en Afrique ont déjà reçu un financement 1.44.Milliard de dollars en 2021, de se fait les Fin Techs se positionnent comme le prochain levier de croissance pour le capital investissement et EFCM- Invest du fait de ses avancées technologiques souhaite prendre sa part dans ce développement.
CHANGEONS LE SYSTEME POUR LE CLIMAT
NOTRE DEMARCHE
Mettre en relation des investisseurs, des entrepreneurs qui ont une vision différente pour résoudre les problèmes de l’extrême pauvreté que rencontrent les gouvernements Africains, sans arriver à les régler. Apporter de la richesse à partager par tous, de la croissance qui agit directement sur le PIB, passe par une énergie nouvelle, abondante, abordable, maitrisable à l’aide de ressource locale. Proposer une solution immédiate dans la neutralité carbone pour la construction, la production d’énergie solaire qui permettra de couvrir le territoire, sont nos objectifs.
De plus, chambouler le marché du financement de l'immobilier peut représenter une grande partie du PIB des pays en voies de développements. Aujourd’hui Il n'y a aucun fond de venture capital en Afrique dédié à l’immobilier pour les plus défavorisé et notamment pour celui qui apparait comme prioritaire en vue de la construction de logements sociaux, par conséquent les levées de fonds plafonnent et l’extrême pauvreté augmente.
La solution serait : De proposer que la production d’énergie thermique produite avec l’énergie fossile qui est payée et non valorisée (quantités importantes) soit recyclée en produisant au plus près de la demande, ainsi il y aurait de l’énergie pour tout le monde et cela serait moins onéreux à répartir sur le territoire. Malheureusement cette solution ne peut être mise en œuvre avec efficience avec le photovoltaïque et l’éolien seule la chaleur renouvelable solaire au plus près du besoin de moyenne température peut régler ce disfonctionnement majeur dans la production d’énergie en Afrique
Il faut régler le différentiel entre le coût du logement décent et de son loyer. Se n’est pas parce qu’ en Afrique le logement est neuf qu’il est décent, il est énergivore, inconfortable et pas sain. Pour régler se problème il fut pourvoir capter les subventions carbones et les ETATS doivent s’impliquer, pour faciliter l’accès à une gamme de service financiers abordables et d’usage pratiques pour permettre la construction d’habitat adaptès et d’un service à l’énergie harmonisé sur l’ensemble du territoire.
NOTRE PROPOSITION
Solaire thermodynamique au plus près de la demande de moyenne température pour obtenir les gains de productivités qui manquent, pour éviter une économie verte de décroissance.
Pour éviter les pertes thermiques issues de l’élévation de la température des énergies fossiles pour permettre la production d’électricité, qui du fait de ces pertes ne permettent pas des rendements élevés pour la production d’électricité. Produire au plus près de la demande de l’énergie renouvelable en recyclant les pertes thermiques (chaleur résiduelle) du fait d’usages à proximité de la production, augmente le rendement, surtout que l’on à besoin de froid de confort, industriel, agroalimentaire, pour l’agriculture…pour réduire les problèmes de santé et d’emplois…
Ensemble unissons nos efforts.
Pour limiter les pertes énergétiques pour les donner aux plus défavorisés, qui semble donc la voie de la raison et du bon sens, surtout qu’en il n’y a pas d’obstacles techniques et financiers à mettre en œuvre une solution énergétique adaptée .pour le Sénégal
Pour cela, la chaleur et l’ammoniac Renouvelable, permettra de faire décoller l’économie, en faisans preuve de pragmatisme et d’éco-responsabilité.
La traque aux pertes thermiques pour améliorer le Rendement Energétique passe par une production décentralisée au plus près de la demande.
Sans modèle énergétique et constructif adapté, pas de projets d’investissements pour protéger le climat.
En produisant l’énergie en chaleur Renouvelable au plus près de la demande, nous arriverons plus vite à Zéro émission de Carbone et obtiendrons des crédits carbones promis (subventions et pour les financements 100 Milliards de dollars par an) article 6 du protocole de Paris promis par les pays développés aux pays en voie de développement.
Mobilisons nous pour proposer une offre qui permet de collecter les subventions carbone!
L’objectif EFCM- Invest: lutter contre l’inertie et les fausses solutions climatiques:
Construire : Aider les gouvernements
Sain à construire des logements
Econome adaptés au climat avec une
Confortable énergie propre, abordable,
Durable maitrisable et abondante.
Etre engagé dans le développement social, économique et écologique, avec la mise en œuvre d’une stratégie carbone neutre dans le logement avec l’économie bleue (le recyclage) de l’énergie, qui règlera les problèmes auxquels l’Afrique est confrontées, notamment avec sa démographie galopante, sont manque d’emplois chronique uniquement du au manque d’énergie.
Le PIB dépend uniquement de l’accès que l’on à l’énergie.
L’Afrique doit faire face à de nombreuses infrastructures et demande d’énergie, qui ne se sont jamais réglés avec les solutions proposées par les gros bailleurs de fonds qui soutiennent les projets de leurs multinationales qui ne tiennent pas compte du contexte et de l’environnement local.
Certain Etat Africain pense que c’est par de grosses centrales thermiques qui va régler le déficit énergétique, nous voyons bien qu’avec l’augmentation de tarif des énergies fossiles que la solution n’est pas là, elle est dans une stratégie de petites capacités à répartir sur le territoire dans le respect de l’environnement (économie circulaire). Ces petites capacités qui maitrises les pertes thermiques seront bien supérieur en puissance en peut de temps quand elles sont exploités au plus proche de la demande.
Il est possible de révolutionner notre consommation et nos moyens de production tout en protégeant encore plus la nature et en créant de la richesse pour mettre fin à l’extrême pauvreté et surtout en mettant en place un tissu industriel à l’aide de la chaleur renouvelable. La chaleur Renouvelable Solaire va devenir la première activité commerciale en Afrique de la prochaine décennie, et l’absence de cette vision par les dirigeants Africains ne fera que de prolonger l’extrême pauvreté de la population, sans attirer les industrielles.
Aujourd’hui l’Afrique utilise majoritairement de l’énergie primaire fossile pour produire de l’électricité qui est issu de la colonisation, sans avoir depuis réalisé le diagnostic du coût global de l’énergie de la production à l’usage. En effet, la chaine énergétique globale électrique, n’est pas favorable en termes de coût pour optimiser les besoins énergétiques. Pourtant toutes les aides financières vont en destination du tout électrique, qui ruine les économies en subventions, car jamais dans les études l’énergie d’usage est pris en compte dans le coût global, les énergéticiens nationaux arrête leur calcul au niveau de la mise à disposition de l’électricité au compteur du consommateur.
Comme financièrement on peut difficilement produire plus d’électricité du fait des pertes thermiques, il est par compte possible de valoriser ces pertes en énergie utiles afin de mettre cette énergie à la disposition des plus défavorisés ou industriels.
La pauvreté énergétique en Afrique est due uniquement au fait que seule la production électrique est envisagée, car les pays qui finances ne prennent pas le temps du diagnostic, ils ne fond qu’assurer leur remboursement, et le soutien à leur industrie.
Si l’Afrique était indépendante financièrement et techniquement il est certainement certain qu’elle n’aurait pas recours à ces technologies désuètes, inadaptées.
La création de flux thermique renouvelable« natif » autre qu’électrique n’est jamais envisagée, malgré une énergie disponible de façon abondante, gratuite et inépuisable, qui au contraire des énergies fossiles permettraient la création de valeur, de la maitrise des coûts, ainsi qu’une meilleure répartition de l’énergie sur le territoire et surtout en permettant de moins subventionner l’énergie, et l’argent pourrait être mieux répartie dans le santé, l’éducation…
Pour devenir de l’électricité (une énergie fabriquée), l’énergie primaire fossile doit subir une série de transformations avant d’être transportée et distribuée dans nos lieux de vie en électricité finale. Malheureusement une fois acheminée chez le consommateur les pertes thermiques ne s’arrêtent pas quand on utilise la climatisation à compression électrique. Aux heures de PIC de température en journée, quand on a besoin de faire du refroidissement, on ne trouve pas de calories dans l’air chaud et les climatiseurs ne font que consommer de l’électricité sans donner de froid. On dit que ces climatiseurs à compression électrique fonctionnent à contre cycle du climat (une autre technologie existe pour palier à cela).
Pourtant il existe, des solutions avec la sorption (valorisation de la chaleur), il faut utiliser plusieurs sources d’énergie sous forme de chaleur renouvelable afin d’être convertis en froid de façon économique et écologique. Certaines énergies renouvelables sont connues comme le solaire et l’éolien mais se stock difficilement. D’autres énergies, plus anciennes comme l’énergie solaire thermodynamique ne nécessitent plus d’avancée technologique que les connaissances actuelles pour être déployées sur l’ensemble du territoire d’Afrique de l’ouest. Pour utiliser les renouvelables, il faut aussi faire attention aux problématiques de la centralisation des EnR, du stockage et surtout au blocage du tarif au KWH issue du Partenariat Publics Privés pendant leur période de contrat de 25 à 30 ans qui bloque le tarif, alors qu’avec le solaire thermodynamique le coût chutera rapidement.
L’électricité peut être produite dans des centrales thermiques
Par la combustion de matière fossile comme le charbon, le pétrole ou le gaz (ou l’uranium pour les centrales nucléaires) de la chaleur se dégage pour alimenter une turbine, mais malheureusement une grande partie est perdue.
La complexité de la chaîne de valeur électrique et les différentes transformations impliquent en outre des cascades de pertes rendement, sources de surcoût financier de l’électricité, qui ont pour effet aussi de renchérir les coûts à l’usage pour les consommateurs, quand les équipements thermiques ne sont pas adaptés au climat.
Les Etats sont face à des pertes thermiques importantes qui sont payées et non valorisées, changeons le système.
Le problème est que les pertes sont importantes, il est donc primordial de se poser la question de savoir si la nécessité de produire uniquement de l’électricité pour répondre à un usage identifié comme par exemple la production de froid industriel, de confort, est la bonne formule?
Un constat s’impose : entre contraintes de stockage, de pertes thermiques et l’autonomie possible avec une énergie de base en hydrogène solaire (ammoniac renouvelable) solaire et la chaleur renouvelable au plus près de la demande.
Il est donc nécessaire pour couvrir les territoires sans investir dans de grandes infrastructures électriques, quelle énergie voulons -nous pour demain ?
La ville « bleue » Africaine
Nous croyons à l’économie bleue plus durable grâce au recyclage (l’économie circulaire), il est donc nécessaire d'investir dans des technologies novatrices qui grâce au recyclage booste le rendement énergétique. Avec les énergies solaires thermodynamiques il est possible de recycler la partie thermique pour être convertie en froid puisqu’elle peut être produite au plus près de la demande, cela permet d’éviter de nombreuses construction de centrales thermiques pour faire fonctionner des équipements de confort thermiques qui fonctionnement de façons énergivores
Nous présentons un programme détaillé visant à ce que l'économie bleue permette:
d'atteindre les objectifs de neutralité climatique et de zéro pollution, notamment grâce au développement des énergies renouvelables solaires thermodynamiques au plus près de la demande, à la décarbonation du transport maritime et à l'écologisation des ports. Un bouquet énergétique océanique durable comprenant l'énergie thermodynamique, et un combustible renouvelable abordable/maitrisable qui pourrait produire l'électricité de l'Union Européenne à horizon proche en l’exportant cette énergie sur les lieux de consommations. Les ports, essentiels pour la connectivité et l'économie des régions et des pays, pourraient faire office de pôles énergétiques;
de passer à une économie circulaire, afin de réduire la pollution, notamment grâce au recyclage de l’énergie thermique théoriquement perdue, afin de la recycler et de la mettre à disposition des plus défavorisés, semble le bon sens,
de soutenir l'adaptation au climat et la résilience côtière– des mesures adaptatives, telles que le développement des infrastructures dans les zones côtières et la protection des bandes littorales contre les risques d'érosion et d'inondation…
d'assurer une production alimentaire durable – la production durable des produits…
Ne freine pas le développement économique comme cela est présenti avec l’économie verte.
Le financement de l'économie bleue,
L’idée est simple, la production de chaleur a plus de valeur en Afrique qu’en Europe, en effet la production de froid est la demande majoritaire en Afrique, et le froid est extrait de la chaleur par des fluides thermiques de manière beaucoup plus avantageuse.
Puisque les ressources énergétiques stimulent la croissance et la richesse des activités humaines, alors comment peut on continuer à perdre plus de 80% de l’énergie fossile (la chaleur thermique) en produisant de l’électricité ? En effet, quand une turbine travaille les pertes thermiques sont importantes
2 solutions sont à explorer :
1- Le recyclage de chaleur au plus près de la demande, une bonne idée.
Conscients des projections sans cesse à la hausse de la demande en ammoniac, et des problématiques environnementales associées à sa production industrielle, les chercheurs (académiques et industriels) privilégient des améliorations constantes du procédé et des voies plus innovantes de production.
L’utilisation de ressources renouvelables comme intrants dans les schémas de production pourrait offrir une solution à court ou moyen terme, par exemple en exploitant l’électrolyse de l’eau comme procédé de production de H2. L’exploitation d’énergie solaire (Mirroir yhermodynamique) permettrait à elle seule de diminuer de plus de 70% les émissions de CO2 associées à la production de NH3 par le procédé Haber-Bosch (Figure ). Une unité pilote de ce type est actuellement en phase d’évaluation par Yara
Avec une production industrielle efficace, en constante amélioration, et avec une réflexion de plus en plus ancrée sur l’usage de ressources renouvelables pour diminuer l’empreinte carbone du procédé, l’ammoniac est une molécule qui se profile de plus en plus comme un enjeu stratégique dans le secteur de l’énergie soit directement liquéfié pour des applications comme carburant dans des moteurs à combustion interne, soit comme vecteur permettant le stockage d’hydrogène.
L’ammoniac liquide peut donc ainsi être utilisé comme carburant pour le transport mais aussi comme combustible pour le chauffage (domestique ou industriel). L’ammoniac peut être fractionné par générer de l’hydrogène applicable dans des piles à combustible et autres applications ciblées en lien avec le transport ou la production de chaleur et d’électricité.
La combustion de l’ammoniac génère uniquement de l’eau et de l’azote (N2) (et de la chaleur).
L’ammoniac ne produit donc aucune émission carbonée (CO2) comme c’est d’ordinaire le cas avec d’autres carburants fossiles liquides (hydrocarbures). L’émission d’oxydes d’azote (NOx) est reportées dans certaines conditions d’usage, mais ces informations restent lacunaires et se doivent d’être mieux documentées et anticipées.
L’ammoniac liquide possède une densité énergétique volumique de 11,5 MJ/L, ce qui est environ 3 fois moins que le diesel, ou deux fois moins que l’éthanol (un biocarburant additionné à l’essence). L’ammoniac liquide est ainsi plus compact que certains autres carburants « traditionnels » comme l’essence ou le kérosène ou certains « biocarburants » comme l’éthanol ou le butanol. Il est également facilement stockable sous forme liquide (bien plus que l’hydrogène). Sa température d’ébullition (Te) et sa pression de condensation (Pc) sont proches de celles du propane (employé comme LPG – Liquefied Petroleum Gas – dans le transport) (Te NH3 = -33,4°C à 1 atm contre -42,1°C pour le propane ; Pc NH3 à 25°C = 9,9 atm contre pour le propane). Cette analogie permettrait donc de pouvoir utiliser, pour l’ammoniac liquide, les infrastructures de transport et de stockage déjà en place pour le LPG (navires de transport, réservoirs de stockage, pipelines, structures de distribution).
La chaleur renouvelable solaire en couplage avec l’ammoniac moins inflammable, et qui présente donc moins de danger d’explosion que le gaz naturel comprimé (CNG), le méthanol, l’essence, l’hydrogène ; est idéal pour servir à couvrir l’intermittence des renouvelables.et à générer des subventions carbones
Concernant l’économie de la construction beaucoup de pays Africain sont actifs, mais malheureusement le manque d’énergie ne permet pas de créer des emplois à proximités de ces zones dortoirs, se qui risque de pas positionner cette activité .durablement l’économie.
Le schéma ci-dessus avec les technologies innovantes utilisées permet d’envisager un développement harmonisé, qui n’est pas possible en utilisant le tout électrique.
En effet, en permettant aux citoyens (particuliers/entreprises) d’être producteur d’électricité avec sa toiture, et en valorisant la partie thermique (recycler) pour leur propre usage en rafraîchissement obtenir enfin du confort moderne/gratuit.
Comme indiqué dans le courrier à Madame la Ministre du Pétrole et des énergies, la stratégie moderne énergétique n’est plus à la construction de grosses centrales thermiques, mais à une optimisation des usages et de la production énergétiques afin de réduire les coûts, surtout d’augmenter la production et en orientant différemment les subventions énergétiques.
Avantages de la chaleur et l’ammoniac renouvelable:
1- Une utilisation « en l’état » dans des moteurs à combustion, un carburant compétitif face à l’essence, sans émission de CO2 lors de sa combustion, et de NOx après traitement des gaz de combustion ;
3- L’ammoniac, nouvelle alternative moins coûteuse que l’hydrogène (nucléaire) pour une électricité propre (photovoltaïque/éolien) ;
4- Un engrais compétitif sur le marché international, sans émission de CO2 pour sa fabrication
5- Export ; appelées en particulier à combler l’action intermittente de l’énergie éolienne et solaire photovoltaïque dans les pays à faible ensoleillement ;
6- Une énergie propre de base stockable et de remplacement, sans limitation ;
Le prix élevé de l’ammoniac et pour les pays qui utiliseront le gaz naturel, concernant le photovoltaïque/éolien il n’est pas adapté. Le rapport d’Argus affirme que l’ammoniac renouvelable sera l’élément clé dans l’abandon des combustibles fossiles. Le solaire thermodynamique qui trouvera son marché pour le recyclage de la chaleur perdue, verra donc son coût compétitif par rapport au gaz, et l’arrivée d’une taxe carbone permettra sa vulgarisation sur tout les lieux de consommation ? L’Afrique est donc le continent qui produira et exportera le combustible des pays industrialisés actuel (s’ils veulent le rester).
La géothermie désigne la récupération de chaleur des sols et notamment des nappes d’eau chaude souterraines. Mais elle ne peut s’appliquer partout. En recyclant l’énergie solaire thermodynamique, aux heures de non activité, on peut recharger un puits climatique afin d’assurer les échanges, transfert, stockage, restitution d’une source primaire d’énergie.
À la sortie du puits, la récupération thermique ne va pas permettre de faire tourner une turbine, mais servir à être injecter dans les lieux de vie pour les refroidir afin d’éviter de produire de l’électricité génératrice de beaucoup de pertes thermiques.
Concernant les nouvelles dispositions du nouveau code de l’électricité sénégalais, se dispositif va au-delà de la pensée des politiques.
Avec Geo-Energie thermodynamique solaire qui fait intervenir un accumulateur géothermique multifonctions, afin d’être l’alternative au tout électrique ruineux en terme financier du fait du coût du stockage de l’électricité. Des études de rendement peuvent être jointes sur demande et fond ressortir dans le logement que pour garantir le confort thermique la production beaucoup d’énergie gratuite est apporté par l’accumulateur thermique (différence importante entre énergie consommée et restituée).
La géo-énergie thermodynamique solaire permet de répondre économiquement à un besoin qui n’a pas besoin d’être réglé par la production d’électricité, car pour 80% du besoin de production énergétique en Afrique, nous n’avons pas besoin de production en électricité. Il est donc inutile de construire des centrales électrique, si on tien compte de cette aspect qui utilise une source disponible, illimitée, et gratuite.
Modèle économique du logement social :
INVESTISEMENT POUR 100 LOGEMENTS SOCIAUX, 30 logements de standing et 10 MGW e-crête, divers 25M€, remboursement sur 25 ans à 5%= 2 400 000 M€
Recette vente logement standing 2000€ X 70M2= 140 000€ X 30 = 4 200 000€
Loyer : 100 X 160€/mois = 16 000€ X 12= 192 000€
Vente électricité= 3.7€
Vente chaleur= 6 M€ aux industriels qui utilise la chaleur le froid pour leur procès industriel.
Taxe carbone= 200 000€
Total/an = 10 092 000 M€ Recettes
1 800 000 M€ Remboursement annuel sur 25 ans
700 000 € Frais de gestion
Marge 7 692 000 M€ ANNUELLE à réinvestir
EFCM- Invest croit aux solutions cohérentes notamment au low-tech assisté de high-tech, là où c'est nécessaire. L'arrivée du matériau « béton de chanvre/terre » dans les constructions neuves urbaines est exceptionnelle de par sa masse thermique et sa régulation hygrométrique naturelle (la perspirance). Créer des murs ou planchers chauffants/ rafraîchissants, apportant un appoint de froid par « géo/free-cooling » la géo-énergie thermodynamique solaire avec l’hydrométrie/solaire est un bon compromis. Le même circuit peut servie au chauffage/rafraichissement, là où il y a besoin en le d’énergie de confort en couplant à des miroirs solaires thermodynamiques à concentration au plus près de la demande à un puits climatique de surface compact (accumulateur thermique).
Les investisseurs, en quête de marchés rémunérateurs dans un contexte international marqué par les taux bas sur les marchés dits « matures », recherchent des opportunités.
Pour les aider à s’engouffrer dans la brèche, nous avons sélectionné une technologie et des actions ciblés comme le logement social et la chaleur renouvelable qui sont les besoins prioritaires pour produire du froid industriel, de confort, médical, alimentaire… afin de faire décoller l’économie Africaine.
Pour construire des logements sociaux, il est opportun de coupler ces construction a la mise en place d’énergie renouvelable rentable pour prendre la subvention et réduire le GAP prix de construction/loyer.
Pour éviter le défaut de paiement il faut donc investir dans des projets à fortes valeurs ajoutées, qui valorise l’environnement, qui soient abordables, maitrisables, et surtout qui mettent un terme à l’extrême pauvreté. Notre solution est aussi de booster l’économie dans un contexte où les donateurs hésitent à augmenter leur aide publique pour le développement dans les infrastructures qu’ils ne comprennent pas.
Dans la construction de logements sociaux la solution réside dans le respect des engagements climats en permettant à des enveloppes de bâtiment de fonctionner en mode passif et actif en étant couplé un système de production d’énergie et de stockage d’énergie à l’aide de la chaleur sensible de vaporisation géré en partie avec la vapeur un état gazeux d’eau qui apporte à un corps un été gazeux à la même température sous pression constante, grâce aussi à l’assistance du solaire thermodynamique (assistant aux transferts thermiques) au plus près de la demande.
En effet, pour créer de la valeur énergétique au lieu de pertes financières, utiliser l’enthalpie du changement d’état pour optimiser le bilan énergétique.
En Afrique la géothermie de surface peu servir à maintenir à température du puits climatique dans le logement et de nombreuses autres applications et non pas à produire de l’électricité qui n’est pas spécialement l’énergie prioritaire en demande.
Les bailleurs de fonds sont intéressai de vendre des équipements électriques puisque c’est leurs industries qu’ils défendent. L’Afrique à besoin de développer la force motrice solaire.
Au lieu de produire une chaleur loin du besoin élevé pour produire de l’électricité avec des pertes importantes thermiques, de transports et de transformations, il vaut mieux produire une chaleur moins importante au plus près de la demande majoritaire d’énergie (de froid) en captant la chaleur avec le solaire thermodynamique en extrayant la chaleur avec des fluides frigorigènes moins consommateur d’énergie que ‘électricité.
Sans porter à ébullition la chaleur solaire de stockage et la vapeur d’eau dans un matériau d’échange d’énergie interne entre 2 systèmes, il faut utiliser « la perspirance » qui est l’utilisation d’un transfert thermique, sans dégrader le matériau, en utilisant un la conduction, l’agitation thermique, la convection, le rayonnement, et un équilibre thermodynamique (d’un corps chaud vers corps froid et vis versa) avec le soleil et la sorption
Il est à noter que les coûts des emprunts des euro-obligations souveraines sont considérablement plus élevés que ceux de la dette extérieure, c’est pour cela qu’il faut bien choisir ces investissements. Il existe des besoins de financements importants pour la mise en place d’infrastructures et de services publics, qui de toute façons coûtent bien plus chers avec le PPP et ne sont pas soutenus par les bailleurs de fonds traditionnels, il faut donc trouver des alternatives pour mettre en place les infrastructures qui fond défaut avec l’augmentation de la démographie.
Une émission en Euro bond permet de lever des devises, de diversifier ses sources de financement, de tester la qualité de sa signature internationale par le biais de son rating, et d'exister en tant qu'émetteur sur les marchés financiers internationaux, quand on propose des investissements qui créent beaucoup de valeur (qui mobilisent suffisamment de recettes en devises) et permettent de générer un cash flow en 5 années du montant , cela démontre que l’emprunt deviens compétitif, afin que les investissements directs affluent les conditions de vie de la population, que les jeunes trouvent des emplois à l’aide d’une énergie bon marché et abondante, ainsi le risque de recours au EURO BOND semble limité.
L’économie réaliser en limitant le recours à l’énergie payante pour changer l’énergie de l’état physique des équipements de conforts thermiques dans la construction pour apporter la température de consigne, permet de rendre abordable la facture énergétique, et de se fait la vulgarisation d’une énergie solaire (la géo-énergie thermodynamique solaire) va permettre de trouver un équilibre financier et pouvoir enfin construire, confortable, sain, durable et économique et permettre de couvrir le territoire à l’aide d’une énergie abordable/maitrisable.
Le recours à de forte puissance électrique, qui est en lien avec les échéances politiques et non le besoin de la population fausse depuis plusieurs décennies le développement s de l’Afrique. Il est donc temps de faire l’inventaire des possibilités énergétiques ; du délai de mise en ouvre et surtout du bénéfice investissement/services rendus.
Une nouvelle aire commence avec la chaleur renouvelable solaire, et on ne gagnera pas la bataille contre l’extrême pauvreté avec différents comités bien pensants, mais avec une entreprise leader qui va partir en guerre contre la pauvreté et la relance de l’économie durable avec l’économie bleue, car la verte n’est pas suffisamment convaincante pour les investisseurs et les utilisateurs.
Conclusion :
Le principe de modèle économique de la Fin Tech Sd toB (Solution durable-to-business) repose que ce soit sur le modèle du logement social, énergétique, gestion des déchets sur la perception de subvention carbone de façon importante grâce à des équipements renouvelables performants et de longue vie qui recycle du fait d’une utilisation au plus près de la demande l’énergie thermique perdue par la production d’électricité.
l’accès à une gamme de service financiers abordables et d’usage pratiques que nous proposons est en partie connue à l’avance grâce à l’engagement de la communauté internationale à financer le rachat carbone, se qui sur la durée de vie des équipements représentent une grande partie de l’investissement, se qui va donner un levier de croissance important pour le capital investissement.
Pour cela, il est important pour les Etats d’avoir une stratégie d’Obligation de Développement Durable (ODD) et de mettre en place un comité de Pilotage des ODD qui réuni les décideurs politiques, financiers, scientifiques…qui aura comme fonction de mettre en place la stratégie et l’éligibilité des projets, le réemploi des dividendes et l’élaboration de rapports annuels.
EFCM- Invest souhaite participer à la création de l’écosystème en cours de constitution de la Fin Tech/Financière Développement africaine en imposant une stratégie environnementale qui apportera de l’emplois et mettra fin à l’extrême pauvreté, et permettra de répondre aux nouveaux enjeux que les gouvernements n’arrivent pas à anticiper avec les recettes de l’ancienne économie, notamment pour réaliser les investissement liés à la démographie.